• Nouvelle-Calédonie

    Nouvelle-Calédonie Nouvelle-Calédonie

    Carte de la Nouvelle-Calédonie : ici

  • La visite de la Grande Terre a débuté par Nouméa. Ensuite, nous avons loué une voiture et avons réalisé une boucle au nord durant 5 jours.

    Dimanche 4 mars, nous avons atterri à l’aéroport international de Tontouta, situé à 45 km au nord de Nouméa. Il est 11h30 et c’est dimanche ; le seul bus qui rejoint la ville n’est qu’à 13h30. Il nous faut donc patienter dans le mini aéroport où nous trouvons tout de même de quoi manger. Ici, c’est la France : les gens parlent français et ça nous fait une drôle de sensation ; la monnaie est le franc CFP (1€=120CFP). Durant le trajet jusque Nouméa, nous ne croisons pas grand-chose, si ce n’est des cocotiers, des bananiers et quelques locaux. Le bus nous laisse dans le centre et nous marchons jusqu’à l’auberge de jeunesse ; ça grimpe et il fait chaud ! Ouf, on y arrive, mais il n’y a personne à la réception. Il nous faut encore patienter ; c’est ça la Nouvelle-Calédonie ! On rencontre un gars qui habite ici depuis plus de 20 ans et qui nous fait notre itinéraire pour les 5 prochains jours, cool ! Il nous recommande vivement de réserver tous nos hébergements à l’avance. Après avoir posé nos sacs, on va faire un tour dans la ville qui compte 90 000 habitants. On se rend vite compte qu’on est en France : le dimanche, tout est fermé ! On passe par la Place des Cocotiers où quelques calédoniens jouent aux boules ou se reposent.

    La Grande Terre

    On poursuit vers le Port Moselle, lieu de passage obligé de tous les plaisanciers. Enfin, on aperçoit une petite foule : mais bien sûr, c’est le cinéma ! Avec des films en français ! On prend nos tickets et on file voir « Intouchables », le film dont vous nous avez tous parlé. Effectivement, on a bien ri, c’était un très bon film. Avant de se coucher, on profite de la vue sur Nouméa by night depuis l’auberge.

    Lundi 5 mars, on récupère notre voiture louée chez Europcar : une petite twingo blanche avec boîte manuelle. On commence par aller voir les deux belles plages de Nouméa : l’Anse Vata et la Baie des Citrons. On s’arrête à Carrefour, où l’on retrouve des produits bien français, pour acheter quelques provisions pour la route. On en profite pour s’acheter chacun un masque et un tuba qui nous serviront pour la suite. Et c’est parti vers le nord ! On longe la chaîne de montagnes centrales par l’ouest. C’est très vert et très luxuriant, on voit des vaches sous les cocotiers. Premier stop à La Foa, pas au bord de la mer mais qui possède un joli jardin de sculptures en bois de type Kanak où l’on pique-nique. On poursuit jusqu’à Bourail, la plage de la Roche Percée et du Bonhomme.

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    Il fait beau, on se baigne puis on fait une petite balade qui passe par la Baie des Tortues et la Baie des Amoureux. On a trouvé une chambre pour la nuit sans réserver et on mange deux bons poissons locaux. Pour finir la journée, on essaie d’observer des tortues qui viennent pondre sur la plage ; c’est la fin de la saison, on n’en verra pas.

    Mardi 6 mars, on prend une transversale (Bourail-Houaïlou) pour aller sur la côte est. On passe de nombreux cols et c’est toujours très vert. Par contre, on ne croise pas grand monde : c’est la brousse ici. Parfois un cheval attaché en bord de route ou un stand avec quelques fruits à vendre avec une tirelire (un peu comme nos jonquilles). Une fois sur la côte est, on prend 2 filles qui font du stop et qui veulent aller à la plage un peu plus bas (le « pouce » est très répandu en Nouvelle-Calédonie). On arrive à Poindimié. On pique-nique face à la mer et on pique une tête dans une eau toujours aussi chaude. Comme la veille, on est tout seul sur la plage. Pas grand-chose d’autre à faire donc on reprend la route pour Hienghène un peu plus haut. La route sillonne entre la mer et la montagne : c’est très beau. Tous les gens ou voitures que l’on croise nous font un signe de la main, c’est sympathique. Les villages traversés sont de plus en plus petits, il y a de moins en moins d’habitants mais toujours au minimum une école et une église. On arrive à Hienghène avec son rocher en forme de poule couveuse qui fait face à un rocher en forme de sphynx.

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    Le seul gîte du village est complet ; on atterri donc dans un petit camping où on nous loue une petite tente et un matelas. Finalement, c’est une bonne chose car le camping fait aussi centre de plongée et on se laisse tenter (après plusieurs hésitations ailleurs et notamment en Thaïlande) par un baptême de plongée avec bouteille pour le lendemain !

    Mercredi 7 mars, notre journée commence par la visite de la plage du billet de 500 (c’est-à-dire la plage représentée sur le billet de 500 francs). Puis on file vers la cascade de Tao plus au nord. Sur la route, pour traverser une rivière, il faut emprunter un bac (bac de la Ouaième). Il ne faut pas être pressé mais c’est pittoresque. On arrive à la majestueuse cascade et on débute la montée sous la chaleur. Arrivés à sa base, on enfile nos maillots et on se baigne dans l’eau un peu fraîche. Ca fait du bien. Retour au camping pour notre baptême. Après avoir signé un consentement, écouté les principales bases théoriques notamment sur le matériel (masque, palmes, gilet, bouteilles) et pris les conseils pour les oreilles et la communication sous l’eau, on embarque avec la monitrice sur un petit bateau en direction d’un îlot au large. Gueg se lance d’abord et descend du premier coup à 6m de profondeur ; 30 minutes plus tard, c’est au tour d’LN qui appréhende un peu mais qui disparaîtra sous l’eau au bout de sa 3ème tentative. Sous l’eau, la monitrice nous fait faire quelques pirouettes et nous fait découvrir de beaux poissons et de magnifiques coraux qu’elle nous fait même toucher. Nous avons vu notamment des némos qui se frottaient à des anémones et un concombre de mer. D’être beaucoup plus profond qu’en snorkelling et de pouvoir respirer sous l’eau sans jamais remonter à la surface est une belle sensation que nous n’oublierons pas.

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    Retour sur la terre ferme, change rapide et on file sans attendre vers une autre aventure… Ce soir, on dort dans une « tribu » Kanak ! C’est Martial, de la tribu Werap, qui nous accueille chez lui. On prend une route dans la brousse et on arrive sur la place d’un petit village : nous voilà dans la tribu. Comme le veut la coutume en tribu et pour y être acceptés, nous remettons à notre hôte un morceau de tissu. Il est très content et désormais nous sommes ses invités. Avant le repas, on fait un petit tour dans le village : des femmes, toujours vêtues de grandes robes colorées et assises par terre, jouent au loto.

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    On rencontre Benoît, fabriquant de monnaie kanak : la monnaie nous surprend puisqu’il s’agit en fait d’une sorte de ruban fait de bois de coco et de banian et décoré avec des petits coquillages et os de chauve-souris. Cette monnaie sert d’offrande lors de mariage ou baptême. De retour chez Martial, qui termine la préparation de notre festin, nous lui posons quelques questions sur son mode de vie. Comme il nous le dit tout de suite, la vie de Kanak, c’est pas de stress. Ils vivent de la culture (pommes de terre et autres légumes divers), de la chasse et de la pêche selon leurs envies du moment. Au menu, concombre du jardin, cerf chassé de la veille, banane poingo grillée, jus de fruit de la passion et ciron vert. Un régal ! On se couche sur un matelas par terre au milieu d’une case. Une grande et belle journée s’achève.

    Jeudi 8 mars, il est temps de saluer Martial qui part à la chasse. Nous quittons Hienghène et continuons la route vers le nord. On s’arrête à Balade, endroit où James Cook a débarqué pour la première fois en Nouvelle-Calédonie. On prend la transversale la plus au nord en direction de Poum. La route est longue, la twingo fatigue et nous aussi ! Nous avions au préalable réservé notre nuit dans un gîte ; nous sommes contents d’y arriver enfin, mais mauvaise surprise : un panneau indique que l’établissement est fermé… Abasourdis, nous rencontrons quand même le propriétaire qui n’a jamais entendu parler de notre réservation ! Bon, que faire ? Car on se trouve à l’extrémité nord de la Grande Terre et il n’y a pas grand-chose. Deux autres gîtes sont fermés car c’est la saison creuse. Par chance, on nous propose « une chambre de secours » dans un relais encore plus au nord (relais de Poingam). Pour s’y rendre, on emprunte une longue piste de terre. Arrivés sur place, il tombe des cordes ; on en profite pour se baigner sous la pluie avant le repas. Nous avons eu la chambre de secours pour pas cher mais le relais est un établissement assez chic et le repas proposé est royal ! Apéro, entrée, plat, dessert et vin servis autour d’une longue table avec tous les autres clients bcbg (pas vraiment l’ambiance routard !). Et pour la deuxième soirée consécutive, on mange du cerf, à la broche cette fois. Finalement, la journée se termine bien.

    La Grande Terre

    Vendredi 9 mars, l’objectif est de ne pas rater notre avion pour l’île des Pins qui est à 18h à Nouméa. On met le cap vers le sud au petit matin. On tente un arrêt à Voh pour observer le fameux cœur de Voh (photo célèbre de Yann Arthus Bertrand). Cependant, plus facile à dire qu’à faire. Le soleil est revenu et il cogne fort. Il faut grimper pendant une heure sur un chemin sans indications. Pressés par le temps, on part à l’arrache. On se perd un peu, la chaleur nous assomme et on a laissé l’eau dans la twingo. Nous prenons la sage décision d’abandonner et de redescendre rouges comme des coqs ; nous n’avons pas vu le cœur mais il en valait peut-être mieux ainsi ! On trace la route jusque l’aéroport sans plus s’arrêter. On est à l’heure pour notre avion qui lui a du retard ; on s’envole pour l’île des Pins à la tombée de la nuit.


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  • Sur l’île des Pins et à Ouvéa, les (més)aventures continuent !

    Nous vous avions laissés vendredi 9 mars, au petit aéroport de Nouméa Magenta qui assure les vols entre Nouméa et les îles. Notre avion a décollé avec 45 minutes de retard, nous avons donc décollé de nuit et n’avons rien vu du lagon ! 20 petites minutes de vol et nous atterrissons à l’aérodrome miniature de l’Ile des Pins. Un taxi nous attend (enfin nous l’attendons aussi) pour nous conduire au camping des Rouleaux où nous avons loué une tente. Sur l’île on ne croise rien et au camping, nous sommes les seuls clients, ça promet !

    Samedi 10 mars, on se réveille tôt et on va admirer la Baie des Rouleaux, juste 3 mètres devant notre tente. Jolie plage de sable blanc bordée de pins colonnades et de cocotiers. Au large, on remarque un énorme navire de croisière en train de débarquer ses passagers à l’aide de petits bateaux. On rejoint par un petit sentier, la baie de Kuto, 2e belle plage de sable blanc, en demi-cercle et toujours bordée de pins. On se baigne, l’eau est très chaude, un régal !

    Ile des Pins et Ouvéa

    Enfin, la baie de Kanuméra de l’autre côté de la route. Il y a un rocher sacré au milieu de la baie et une profusion de beaux poissons. On enfile nos masques et tubas pour les admirer.

    Grâce au bateau de croisière, il y a plein de petits vendeurs de barquettes de frites et de brochettes. Ouf, nous ne serons pas coincés pour ce repas-là ! Sur le chemin du retour, on longe la mer et comme c’est marée basse, on voit de gros crabes dans les rochers et surtout des serpents de mer : les tricots rayés. Au camping, on réserve une excursion en pirogue pour le lendemain. Gaby, le proprio, nous dit qu’il s’en occupe et nous demande d’être prêts pour 7h30 au parking. (Important pour la suite…). Soirée autour de notre feu !

    Dimanche 11 mars, 7h30 tapantes, nous sommes prêts et nous attendons notre taxi. Sauf qu’à 8h il n’y a toujours personne… On se décide à aller réveiller Gaby qui, les yeux à peine ouverts, nous dit que c’était à nous de réserver notre taxi… (Mais ce n’est pas ce qu’il nous a dit la veille…). Il essaie de le joindre mais le taxi est occupé alors il décide bien gentiment de nous conduire au point de départ de la pirogue. Et c’était moins une car la dernière pirogue s’apprêtait à partir ! Nous sommes une dizaine sur cette jolie pirogue à voile et à moteur. Juste au départ, il y a une éclaircie qui nous permet d’admirer la belle couleur de l’eau. Mais c’est bref, car très vite le ciel se couvre. Il se met même à pleuvoir. Dommage car ça devrait être magnifique. Nous naviguons dans la baie d’Upi, baie d’Halong miniature mais avec une belle eau claire et turquoise (de ce qu’on imagine !) Au milieu de la baie, on croise une énorme tortue grosse tête qui nage. C’est chouette. Après 45min, on accoste et il nous faut marcher dans la jungle pour atteindre le but de l’excursion : une piscine naturelle. Il n’y a pas vraiment d’indications mais on suit les autres touristes. Il faut traverser un bras de mer : c’est marée haute, donc on a de l’eau jusqu’aux cuisses et en plus il pleut fort, mais c’est marrant ! On arrive enfin et coup de chance, le soleil revient. Il s’agit d’un énorme trou d’eau limpide à tel point qu’on se croirait vraiment dans une piscine. Et pour couronner le tout, il y a une myriade de poissons chatoyants et surtout des énormes. On enfile masques et tubas et on se régale. Ca valait le coup de marcher.

    Ile des Pins et Ouvéa

    De nombreux touristes continuent la balade ; en les questionnant, ils nous disent tous qu’ils vont manger la langouste qu’ils ont réservée auparavant ! Nous, bien sûr, on a rien réservé. Perdus au milieu de nulle part et sans pique-nique, on ne sait pas trop où manger ce midi. Finalement, on les suit et même sans réservation, on y a droit à notre langouste !! Mmmh, un régal (quand on ne pense pas au prix) !

    Lundi 12 mars, la pluie sur la toile de tente nous réveille… Il n’y a eu que quelques éclaircies durant la journée donc on est restés au camping tranquillement.

    Mardi 13 mars, on quitte la magnifique île des Pins sous le ciel gris. Arrivés à Nouméa sous la pluie, on a 5h devant nous avant le prochain vol pour Ouvéa, une autre île paradisiaque. Après avoir laissé nos sacs à l’aéroport non sans difficulté, on prend un bus en direction du centre culturel Tjibaou. Une très belle construction, très grosse, mais l’intérieur est un peu vide : quelques masques et totems et des expositions temporaires. Retour à l’aéroport, on s’envole pour Ouvéa avec du vent, de la pluie, une visibilité médiocre et des turbulences. L’aéroport d’Ouvéa est en fait une salle : il n’y a rien. Le temps est couvert mais il ne pleut plus. On va dans notre gîte en taxi : on s’installe dans notre paillote qui est en fait une case sommaire. On va voir le lagon qui est longue plage de sable blanc avec une eau turquoise même avec un ciel gris.

    Ile des Pins et Ouvéa

    Mercredi 14 mars, à défaut d’avoir trouvé un scooter (qu’il aurait fallu bien évidemment réserver à l’avance…), on loue 2 vélos. Et c’est parti vers le nord, sur la quasi seule route de l’île : une route qui s’étend sur toute la longueur de l’île (environ 40 km) et qui longe le lagon. L’eau est très belle malgré le ciel un peu gris. On s’arrête au pont du Mouli, où l’on peut voir, paraît-il, des tortues. Effectivement, après quelques minutes d’observation, des tortues sortent leur tête de l’eau avant de replonger tout au fond. La tortue est emblématique de la Nouvelle-Calédonie. On voit aussi, au fond de l’eau, des raies manta, énormes raies de plus d’un mètre d’envergure. On poursuit notre route à vélo : on passe devant la gendarmerie, la poste, une école, quelques églises… On s’arrête à un snack pour déguster un bon poisson (malabar). Bien repus, on se décide à retourner après avoir compris que le petit marché que nous cherchions n’existe visiblement plus. Par contre, on se rend compte qu’on est allés un peu loin à l’aller et que le retour va être long et difficile… Heureusement, sur l’île, le stop est habituel : on s’arrange pour qu’un pick-up s’arrête pour pouvoir nous prendre ainsi que les vélos. Du coup, le retour est rapide ! C’est une chance car une tempête s’abat sur l’île ; on a juste eu le temps de se baigner un peu avant le déluge !

    Jeudi 15 mars, après une courte négociation on a enfin notre scooter. Après un petit stop pour regarder les tortues et les raies, on remonte vers le nord de l’île à fond les ballons. On visite une vanilleraie : c’est assez artisanal et une fille nous explique un peu comment ils travaillent. Cette fois, l’orage n’a pas attendu l’après midi : on s’arrête, trempés, sous le premier abri que l’on trouve. Il s’agit d’une maison de locaux et ils nous proposent gentiment de partager le repas de midi avec eux étant donné que la pluie ne s’arrête pas. Riz et poisson au menu. Chaque membre de la famille arrive et on se retrouve vite une petite dizaine autour de la table. Finalement, la pluie nous a permis de passer ce bon moment. Le temps s’améliore, on reprend la route en direction d’un trou d’eau, au nord de l’île. La route se transforme en chemin, le scooter s’embourbe dans les grosses flaques d’eau et il semble qu’il faille finir à pieds puisqu’on se trouve désormais dans une forêt. Comme il n’y a aucune indication, on est même pas sûrs de l’endroit et les énormes araignées (ici, elles sont impressionnantes) qui pendent un peu partout ont raison de nous : on retourne sans avoir vu le trou. Fin de la journée : baignade avec masque et tuba sous le pont et remise du scooter.

    Ile des Pins et Ouvéa

    Vendredi 16 mars, retour à Nouméa pour la fin de notre séjour calédonien.

    Au final, nous avons apprécié ces deux îles paradisiaques même si le temps n’a pas toujours été au rendez-vous. Un petit bémol tout de même sur l’organisation : nous recommandons de planifier et de réserver son hébergement et ses repas à l’avance sans quoi, le séjour peut être un peu galère car les îles sont assez désertiques au niveau infrastructures.


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  • Nous remercions tous ceux qui ont participé

    au cadeau de thèse de Gueg ainsi que

    le Père Noël de Deyvillers !

     

    Nous avions réservé (depuis l’Australie !) une journée d’excursion en jet ski avec un vol en hélicoptère au-dessus du lagon.

    De retour à Nouméa, dimanche 18 mars, nous voilà donc partis à la base de Locajet pour découvrir les machines. Nous sommes contents car il fait très beau. Après un briefing de sécurité et l’explication de la journée, nous enfourchons un beau scooter des mers ! On se retrouve rapidement en pleine mer et à pleine vitesse (l’engin monte à 80 km/h en moins de 5 secondes…). Ouah, c’est impressionnant et très agréable : une belle sensation de vitesse et de puissance avec les cheveux dans le vent et parfois une bonne vague dans la figure !

    Une journée extraordinaire

    On fait un premier stop sur l’îlot Larégnère pour plonger avec masque et tuba et admirer une fois de plus les magnifiques poissons qui jouent dans les coraux colorés (la Nouvelle-Calédonie est considérée comme le plus grand lagon du monde, on en aura bien profité). Puis reprise de la route, enfin de la mer, en direction de l’îlot Goéland au sein du récif de Crouy. Un tout petit îlot entouré par 1,50m d’eau d’un bleu magnifique. L’endroit est très beau ; d’ailleurs, les quelques bateaux qui sont présents ne sont pas trompés : il nous faut un peu slalomer entre eux. On se baigne dans cette eau claire et chaude. On repart vers l’îlot Maître, même LN tente la conduite et Gueg se rend compte que ça secoue beaucoup plus à l’arrière et qu’il y a peu de prise pour se tenir (la prochaine fois, on en prendra chacun un !). Cette fois, l’îlot est un peu plus gros, avec un complexe hôtelier fait de petits bungalows posés sur l’eau et une belle piscine. C’est l’heure du pique-nique ! Et juste après, notre hélicoptère arrive pour la balade dans les airs. On monte dans l’appareil, on enfile nos casques et c’est parti pour la découverte du lagon vu du ciel. C’est époustouflant : les couleurs sont superbes ! On vole jusqu’à la barrière de corail où l’océan se brise. Les contrastes et les différentes teintes de bleu sont magiques.

    Une journée extraordinaire

    Retour sur l’îlot, petit saut dans la piscine de l’hôtel et retour à la base en jetski. Bref, une belle journée, pleine d’émotions et de bons souvenirs.

    La suite de notre périple dans la rubrique Nouvelle-Zélande.


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